sábado, 9 de febrero de 2013
viernes, 8 de febrero de 2013
Adelson gana la partida a la honradez
Eurovegas a Alcorcón
El PP no se inmuta ni por protestas ni por sospechas, ni por evidencias, la apisonadora sigue firme en la consecución de sus fines, dado que una minoría decisiva de ciudadanos le ha dado la llave de las decisiones y de la caja fuerte. “Es un día muy importante para Madrid, para la Comunidad de Madrid y para España“, afirma el presidente madrileño, Ignacio González quien añade: ”Es la inversión más importante que se va a producir en España y en el mundo en los próximos años”.
Lo que no dice es que Las Vegas Sands sólo está dispuesta a asumir el 35% de la inversión y el resto habrá que financiarlo a costa de otros proyectos o de más recortes… o de hundirnos definitivamente en la miseria por décadas. O el negocio que proporciona a empresas muy determinadas. O las exenciones fiscales y cambios legales que se le conceden a Adelson, un ciudadano ejemplar donde los haya. Es, así mismo, un índice también del modelo de país al que aspira España. Recortes brutales en investigación y desarrollo, y ocio de muy dudosa ética para apoyar. Y el gran proyecto de quien se autopostula como regeneradora de la democracia:
”No hay que olvidarse de la historia de la “lideresa”, ni de la pasada ni la de la más reciente: Esperanza Aguirre es la que se comprometió con Sheldon Adelson en convertir la Comunidad Madrileña en una zona alegal, de juego, lavado de dinero, y todo lo que se les ocurra. Y ahora quiere convertir toda España en un inmenso Eurovegas. Porque si la señora Dancausa pudo “improvisar” una aceptación de Presidencia bajo la “sopresa” de que Tamayo y Saez NO acudían a votar y cambiaban las mayorías, también pueden los actuales gobernantes del PP diseñar más o menos a tropezones su impunidad a medida e imitación de cómo la quiere Adelson. Y no me extraña porque la ley anda muy “huída” en muchos lugares de destaque de la Comunidad de Madrid (y de Catalunya, con “cimeres anti-frau” de pura filfa) entre los indultos de los viernes del Consejo de Ministros, las amnistías fiscales que además “pinchan”, y los agujeros negros, de luto, de una privatización de la enseñanza y de la sanidad que nos enferman… y nos movilizan!, nos contaba Ángels Martínez Castells en un estupendo artículo.
Eurovegas a Alcorcón, dicen. Si siguen en el poder, desde luego que lo harán. Cuanto quieran, harán. ¿Hasta cuándo vamos a permitir esto?
La crisis tiene salidas más eficientes y humanas
L'Islande, modèle de sortie de crise ?
Démocratie directe, coupes dans les dettes... Un livre revient sur les solutions non orthodoxes du petit Etat, passé tout près du naufrage financier. Pascal Riché, Comment l'Islande a vaincu la crise, éditions Versilio, 115 p.
Par DOMINIQUE ALBERTINI
«Que Dieu sauve l’Islande.» Lorsque
le Premier ministre, Geir Haarde, conclut ainsi son adresse aux
citoyens de la petite nation insulaire, en octobre 2008, ces derniers
comprennent que les temps s'annoncent difficiles. Après plusieurs années
d'exubérance financière et de consommation à tout crin, l'Islande
coule, lestée d'un secteur bancaire obèse qui ne résiste pas plus que
l'Europe et les Etats-Unis à la crise mondiale. Le pays, qui voit son
PIB chuter de 6,6% en 2009, découvre un chômage jusqu'alors
quasi-inexistant.
C'est cette chute, mais surtout les solutions mises en œuvre par le pays pour se redresser, que décortique Pascal Riché (rédacteur en chef de Rue89) dans un livre -et un e-book- paru jeudi : Comment l'Islande a vaincu la crise (éditions Versilio, 115 p.). Un reportage dans «le labo de l'Europe», et l'occasion de dépasser quelques sympathiques clichés au sujet du redressement islandais. Non, l'île n'a pas connu de «révolution», mais une simple rupture de coalition gouvernementale sous la pression populaire.
1. Etre sélectif dans ses renflouements
En 2008, la taille des banques islandaises représente dix fois le PIB national. Autant dire que le pays n'a pas les moyens de voler à leur secours au lendemain de la chute de Lehman Brothers. Seul les dépôts des Islandais reçoivent donc la garantie de l'Etat. Les épargnants étrangers ─ britanniques et néerlandais, notamment ─ qui avaient confié leurs sous aux établissements locaux en sont pour leur frais, et se retournent vers leurs propres gouvernements. En Islande, de nouvelles banques sont créées pour reprendre les opérations domestiques. Contrairement à une idée reçue, sur les trois établissements concernés, deux ont d'ores et déjà été privatisées.
2. Ecouter le peuple
Petit à petit, les rassemblements se massifient devant l'Assemblée islandaise. En janvier 2009, les manifestants finissent par obtenir la démission du Premier ministre, de la direction de l’Autorité de surveillance des banques et de celle de la banque centrale. Puis, par deux référendums, l'Etat choisira de ne pas rembourser les créances réclamées par les gouvernements britannique et néerlandais. Une nouvelle constitution est élaborée sur la base des travaux de vingt-cinq citoyens «ordinaires» ─ plutôt médecins et professeurs que pêcheurs et ouvriers, néanmoins─ et de contributions recueillies sur les réseaux sociaux. Mais 49% seulement des citoyens participent au référendum validant le projet, et le dernier mot reviendra à la nouvelle Assemblée élue en avril prochain.
3. Punir (avec modération)
Passé le plus dur de la crise, vient le temps de la recherche des responsabilités. Ce n'est pas l'épisode le plus glorieux de la saga islandaise. Unique politicien poursuivi, le Premier ministre au moment du krach, Geir Haarde, fait surtout figure de bouc émissaire. Il sera condamné pour une formalité et pas même sanctionné. Du côté des banquiers, deux spéculateurs seulement ont été condamnés pour l'instant, bien que de nombreux dossiers restent ouverts.
4. Couper dans les dettes
Les mesure ont fait moins de bruit que la fameuse constitution «2.0». Mais, selon Riché, elles sont bien «les plus courageuses et radicales». Pour sauver les ménages les plus endettés de la faillite personnelle, l'Etat incite les banques a écréter leurs créances : au-delà de 110% de la valeur du logement, la dette est effacée. Des mesures similaries sont prises pour les PME, tandis que les prêts basés sur les variations de devises, destructeurs dans la crise, sont proscrits.
L'Islande, modèle pour l'Europe ? Certes, sa reprise reste fragile, et la démocratie directe est plus simple à appliquer dans une société de 320 000 habitants ─ dont les deux tiers dans une seule agglomération urbaine ─ bien plus homogène que dans les grands pays continentaux. Mais, avec une croissance attendue à 2,7% en 2013 et un chômage proche de 5% fin 2012, comment ne pas s'intéresser aux ingrédients du miracle islandais ? Vu le «succès» des politiques européennes actuelles, le continent aurait bien besoin, lui aussi, de nouvelles recettes.
C'est cette chute, mais surtout les solutions mises en œuvre par le pays pour se redresser, que décortique Pascal Riché (rédacteur en chef de Rue89) dans un livre -et un e-book- paru jeudi : Comment l'Islande a vaincu la crise (éditions Versilio, 115 p.). Un reportage dans «le labo de l'Europe», et l'occasion de dépasser quelques sympathiques clichés au sujet du redressement islandais. Non, l'île n'a pas connu de «révolution», mais une simple rupture de coalition gouvernementale sous la pression populaire.
1. Etre sélectif dans ses renflouements
En 2008, la taille des banques islandaises représente dix fois le PIB national. Autant dire que le pays n'a pas les moyens de voler à leur secours au lendemain de la chute de Lehman Brothers. Seul les dépôts des Islandais reçoivent donc la garantie de l'Etat. Les épargnants étrangers ─ britanniques et néerlandais, notamment ─ qui avaient confié leurs sous aux établissements locaux en sont pour leur frais, et se retournent vers leurs propres gouvernements. En Islande, de nouvelles banques sont créées pour reprendre les opérations domestiques. Contrairement à une idée reçue, sur les trois établissements concernés, deux ont d'ores et déjà été privatisées.
2. Ecouter le peuple
Petit à petit, les rassemblements se massifient devant l'Assemblée islandaise. En janvier 2009, les manifestants finissent par obtenir la démission du Premier ministre, de la direction de l’Autorité de surveillance des banques et de celle de la banque centrale. Puis, par deux référendums, l'Etat choisira de ne pas rembourser les créances réclamées par les gouvernements britannique et néerlandais. Une nouvelle constitution est élaborée sur la base des travaux de vingt-cinq citoyens «ordinaires» ─ plutôt médecins et professeurs que pêcheurs et ouvriers, néanmoins─ et de contributions recueillies sur les réseaux sociaux. Mais 49% seulement des citoyens participent au référendum validant le projet, et le dernier mot reviendra à la nouvelle Assemblée élue en avril prochain.
3. Punir (avec modération)
Passé le plus dur de la crise, vient le temps de la recherche des responsabilités. Ce n'est pas l'épisode le plus glorieux de la saga islandaise. Unique politicien poursuivi, le Premier ministre au moment du krach, Geir Haarde, fait surtout figure de bouc émissaire. Il sera condamné pour une formalité et pas même sanctionné. Du côté des banquiers, deux spéculateurs seulement ont été condamnés pour l'instant, bien que de nombreux dossiers restent ouverts.
4. Couper dans les dettes
Les mesure ont fait moins de bruit que la fameuse constitution «2.0». Mais, selon Riché, elles sont bien «les plus courageuses et radicales». Pour sauver les ménages les plus endettés de la faillite personnelle, l'Etat incite les banques a écréter leurs créances : au-delà de 110% de la valeur du logement, la dette est effacée. Des mesures similaries sont prises pour les PME, tandis que les prêts basés sur les variations de devises, destructeurs dans la crise, sont proscrits.
L'Islande, modèle pour l'Europe ? Certes, sa reprise reste fragile, et la démocratie directe est plus simple à appliquer dans une société de 320 000 habitants ─ dont les deux tiers dans une seule agglomération urbaine ─ bien plus homogène que dans les grands pays continentaux. Mais, avec une croissance attendue à 2,7% en 2013 et un chômage proche de 5% fin 2012, comment ne pas s'intéresser aux ingrédients du miracle islandais ? Vu le «succès» des politiques européennes actuelles, le continent aurait bien besoin, lui aussi, de nouvelles recettes.
La prensa extranjera aprende qué es un chorizo gracias al escándalo
Spain’s government - Another blow
The ruling conservative party is shaken by a damaging corruption scandal
A CHORIZO is a spicy Spanish sausage, best accompanied by a glass of Rioja, though often sliced and served in a doughy bocadillo, or sandwich. Chorizo is also slang for a swindler or cheat. At protests against Mariano Rajoy’s government demonstrators have taken to waving loaves aloft and shouting: “There isn’t enough bread for so many chorizos!”
Now the allegations have touched Mr Rajoy directly. “Never, ever have I received or handed out black money,” he insisted on January 21st. But revelations from Spain’s two main newspapers, El País and El Mundo, claim otherwise. They allege that slush money flowed liberally through the headquarters of Mr Rajoy’s Popular Party (PP) for at least two decades. Some of it supposedly went straight into the pockets of the party’s leaders. “Envelopes with cash were handed out as salary top-ups to certain top party officials,” said Jorge Trías Sagnier, a former PP deputy and the only whistleblower so far to go on the record.
The allegations, although denied by almost everyone who has been implicated, have turned into a full-blown scandal. The most serious evidence, contained in secret ledgers purportedly kept by the party’s chief accountant, show Mr Rajoy receiving €25,000 ($34,000) a year for a decade. On February 3rd, standing by Angela Merkel, Germany’s chancellor, at a press conference in Berlin, a nervous Mr Rajoy protested that “except for a few bits” the ledger entries were false.
The pivotal character in the scandal is Luis Bárcenas, a party administrator for two decades, whom the party made a senator in 2004 and Mr Rajoy himself promoted to treasurer in 2008. Courts began investigating Mr Bárcenas four years ago amid allegations that he was among the beneficiaries of a backhander scheme run by local party members in Madrid and Valencia. Mr Rajoy stood by his man and the PP paid for his defence. But Mr Bárcenas eventually stood down, as both treasurer and senator. Rumours spread that he had taken away incriminating documents.
The bombshell came last month when court investigators discovered that Mr Bárcenas had a €22m Swiss bank account. He also admitted to using a tax amnesty last year to declare €10m of hidden money.
The 14-page ledger, published by El País, is said by some handwriting experts to be in Mr Bárcenas’s hand. It appears to show that much of the PP’s secret fund came from construction magnates who received public contracts and helped inflate Spain’s disastrous real-estate bubble. Regular cash-in-hand payments to the PP’s leaders supposedly carried on even while they held public office, continuing until 2009, five years after Mr Rajoy became leader.
Some recipients of loans and other payments acknowledged having received money, but said that they were entirely legal. They include Pío García-Escudero, the senate president. Press reports are agreed that the slush fund was shut down several years ago. For the rest, the evidence is either confusing, of unknown provenance or both. Certainly, Mr Rajoy and the rest of his party deny it all. The prime minister’s denial of self-enrichment deserves credence, as this is the first suggestion that he is anything less than squeaky clean.
On the other hand, El Mundo has quoted five unnamed sources who spoke of regular cash-in-hand payments to party leaders. And voters are beginning to latch on to the idea that Mr Rajoy ran a party which hid, distributed and lied about dirty money. Four out of five Spaniards believe the PP’s leadership should resign en bloc. Just over half want a snap general election.
Will the scandal bring down Mr Rajoy’s government? It has a comfortable parliamentary majority and three years until a general election. Spain’s courts proceed slowly. They have only just started hearing the trial related to a ring of world-ranking cyclists and other athletes who allegedly doped themselves at the Madrid clinic of a doctor first arrested in 2006.
Yet the damage to Spain cannot be measured by the fate of a single party at the next general election. Spaniards have lost respect for their politicians. Other parties, especially the Convergence and Union coalition, which runs Catalonia, are knee-deep in allegations of corruption. The opposition Socialists have cases rumbling, too, especially in places where mayors and real-estate developers seemingly fell into a toxic embrace. Polls show that 96% of Spaniards believe many politicians are on the take. Support for the main parties has tumbled over the past year, as a double-dip recession deepened and unemployment climbed to 26%. The king’s son-in-law, Iñaki Urdangarin, and his business partner were recently told to post a €8.1m bail after being investigated for corruption charges that also involve regional PP governments.
A recent poll gave the two big parties, which have run Spain for the past three decades, only 46% of the vote. The political settlement Spaniards agreed on as they emerged from dictatorship in the 1970s gave huge power to the parties to solidify democracy. This may have backfired. “Having created the monster, we are being devoured by it,” says Antonio Argandoña at IESE, a business school.
In 2011 the country’s legion of indignados took over city squares, shouting: “They don’t represent us”. They have even more reason to be indignant now.
Ocurrió ayer en Sol.
Imaginad por un momento que la anciana de la foto es vuestra madre o vuestra abuela, o un familiar. No vamos a sacar de contexto ni a interpretar nada. Yo veo en la foto a una señora mayor que es agarrada violentamente por sus vestimentas, por un invividuo vestido de policía. Ni digo que la mujer agrede al policia, ni todo lo contrario, ni voy a hacer demagogia.
La señora se llama Angustias y aparentemente el agente es mucho más corpulento.
Me remito a describir textualmente lo que se ve en la foto. Vuestra madre, abuela... ¿Como se queda el cuerpo ?
La Opinión de La Pluma
Quien en
verdad sobra es él
La Pluma
Afilada
Hace
bastante tiempo que, quien esto suscribe, estima que España carece de
verdaderos hombres de negocios. En cambio abundan los negociantes, que es una
variedad más cutre y rijosa de los primeros. A esa carencia cabe atribuir en
una buena medida, la mala situación de la economía nacional e incluso la
corrupción rampante.
La casta de
los adinerados sólo sabe engordar la cuenta a base de exprimir el jugo de los
trabajadores, sean o no cualificados, engañar a la hacienda pública valiéndose
mil subterfugios, y recurrir a las trampas para que les vaya mejor, sobre todo
a la de pagar mordidas y hacer regalías a quienes pueden facilitarles las
cosas.
Son ellos,
con pocas excepciones, el germen de la corrupción, puesto que es verdad que ésta
precisa de alguien dispuesto a corromperse, pero no es menos necesaria la
figura del corruptor.
Pues bien,
desde que la codicia de unos empresarios provocó el manoseado escándalo de las “sub prime” e hizo tambalearse el
edificio del capitalismo corrompido y corruptor, los culpables del desaguisado
en vez de pedir disculpas y cesar en sus sucias prácticas, han pasado a la
ofensiva al amparo de unos poderes políticos cómplices de sus maniobras.
Y esos
políticos y corruptores se han aprovechado de la situación para arrasar el
edificio de los derechos sociales, fruto de décadas de sacrificio y lucha de
los más humildes, exigiendo unas leyes que equivalen a poner de rodillas y con
las manos en la nuca a la clase trabajadora, auténtico motor de cualquier
recuperación. Sin fuerza laboral, sus fábricas no valen nada.
Su
estrategia, si en principio fue sibilina, ahora se hace descarada y egoísta
(ésta que vivimos es la crisis de la codicia), y la mejor prueba de ello son
las exigencias de despidos más baratos, de condiciones más leoninas y de mayor
facilidad para abusar amparados por injustas leyes.
En otro
tiempo histórico, seguramente ya habríamos asistido a un estallido social
violento, que parece ser el único lenguaje que parece entender esta casta
cargada de millones –por lo general alejados del país en paraísos fiscales- y
la única razón capaz de hacerle razonar. Y si se empeñan en tensar la cuerda
hasta el grado de ruptura, no hay que descartar que llegue el momento en que un
o unos desesperados se echen al monte.
Aún frescas
las palabras de un presidente de los negociantes españoles, como fue el caso
del ahora encarcelado Díaz Ferrán, cuando reclamaba que la fuerza laboral
española cobrase menos y trabajase más (mientras él, sin gran esfuerzo, se
llevaba calentita la pasta lejos del control del fisco), llega ahora su sucesor
para denunciar a la función pública y considerar que sobran varios cientos de
miles de funcionarios.
Este
ardiente valedor de los “mini jobs” –también
merecedores del nombre de contratos basura-, se olvida de que funcionarios son
los profesores que educan a nuestros jóvenes, los médicos que sanan a los
enfermos, los policías que nos dan seguridad, los militares que se encargan de
la defensa y claro, también, quienes en las oficinas de todo tipo constituyen
la materia que engrasa el funcionamiento del Estado.
Dice este
individuo (difícil de calificar, aunque a la memoria vienen una serie de
epítetos malsonantes que la irían al pelo), a propósito del supuesto exceso de
funcionarios públicos, que
preferiría que estuviesen en su casa cobrando un subsidio que en sus puestos
sin nada que hacer gastando bolígrafos y teléfono. Y por ello concluye en que
habría que eliminar a un elevado número de ellos.
Y claro, leyendo estas opiniones
memas y malignas, a uno le da en pensar que en este país no es que sobren funcionarios,
ni trabajadores, ni inmigrantes, ni nada de eso. Lo que en verdad sobran es
personajes como el tal Juan Rosell, Gerardo Díaz Ferrán y tantos otros que
enarbolan la insensibilidad como bandera, la insolidaridad como estandarte y la
mentecatez como discurso.
O sea, lo que sobran es negociantes
de tres al cuarto, porque en cambio faltan emprendedores auténticos y hombres
de negocio solventes, que sean capaces de crear economía, pero no a cambio de
dejar en la cuneta del paro a millones de trabajadores, ya sean públicos o
privados.
Son quienes pertenecen a esta casta
estéril de zánganos quienes no entienden que la única manera de ser alguien en
el mundo de los negocios, exige tratar decentemente y ser justos con sus trabajadores;
estimular su formación para que se igualen a lo mejor de lo mejor. En vez de
empeñarse en copiar los malos usos de modelos semi esclavistas y corruptos como
el chino.
No tenemos que competir con los fabricantes
del todo a cien, sino con aquellas naciones que invierten para que de sus
cadenas de producción salga lo mejor de lo mejor, aunque ello implique ganar
algo menos de dinero, o hacerlo más lentamente. Y eso requiere igualmente, una
función social eficaz y capaz, que valore la probidad, más que la baratura; la
experiencia, más que el miedo a llevar la contraria.
El Sr. Rosell y sus colegas deberían
aprender que las sociedades más avanzadas en términos de producción y
generación de riqueza, son las que invierten en tener los mejores profesionales
y les remunera en lo que de verdad valen. En vez de cicatear para sacar tajada
y luego sacar maletas de billetes por la frontera. Porque eso sí, estos
individuos tan patriotas se llevan la pasta a cualquier sitio donde les den
coba, en vez de emplearlo en ayudar a su país.
Aunque los negociantes españoles no
lo entiendan, no hay más secreto. Y si siguen abusando, antes o después
excitarán la ira de los menos afortunados que volverán la mirada hacia ellos.
Y seguimos sin que alguien se decida a tomar medidas
La Unión Europea alerta sobre los riesgos de la corrupción en España
Un informe interno de la Comisión avisa de las consecuencias del descrédito de los políticos por el ‘caso Bárcenas’
Las reverberaciones de los casos de corrupción en España activan las
alarmas en Bruselas. La Comisión Europea advierte, en un informe
“político” interno al que ha tenido acceso este periódico, del efecto
negativo de los últimos escándalos, en especial tras la publicación de los papeles del extesorero del PP, Luis Bárcenas.
“Ese es solo el último de una serie de casos de corrupción de perfil
alto, incluyendo uno contra el yerno del rey Juan Carlos. Como
consecuencia, los españoles han perdido la confianza en su clase
política”, sostiene el documento. Pese a que Bruselas considera “muy
prematuro” aventurar si existen potenciales amenazas para la estabilidad
del Gobierno, insiste en que “la creciente frustración podría llevar a
muchos españoles a una completa desconexión de la política”, y subraya
el retroceso en las encuestas de los dos grandes partidos, PP y PSOE,
como efecto colateral. Además de las consecuencias políticas, el informe
avisa también de que “los inversores internacionales están siguiendo
estrechamente la situación”.
“Junto con la reforma aún por concluir del sistema bancario y las incógnitas sobre la estructura institucional (reforma de la Administración local, reforma del Banco de España, creación de una autoridad fiscal independiente, división de poder con las comunidades e independencia de Cataluña) la corrupción es otro lastre para la confianza de los inversores en España”, señala el documento.
Fuentes gubernamentales aseguraron que ayer en la cumbre no se palpaba “una preocupación concreta” sobre España. “El caso no ha salido en las conversaciones entre los líderes. Lo que sí hay es una preocupación genérica, cierta inquietud por la estabilidad de España (que se refleja en la prima de riego) y de Italia, por las elecciones”, según admitieron las mismas fuentes.
Bruselas ha mantenido hasta ahora un respetuoso y prácticamente inexpugnable silencio institucional respecto al caso Bárcenas, tras la publicación de los papeles manuscritos del extesorero del PP en los que apunta entregas de miles de euros a casi todos los integrantes de la cúpula de ese partido. Incluido el presidente Rajoy, que ha negado con rotundidad haber recibido dinero negro. El pasado viernes, una portavoz del presidente José Manuel Durão Barroso rehusó en rueda de prensa —hasta en siete ocasiones— pronunciarse sobre el caso. A las insistentes preguntas de varios medios sobre si hay preocupación en Bruselas o sobre la tensión social que pueden generar escándalos de ese tipo, la portavoz aseguró que la Comisión no ha mantenido contactos con España sobre esta cuestión. “Es un asunto interno”, se limitó a responder una y otra vez, para aclarar después que en ningún caso va a afectar al programa de rescate de la banca. El pasado miércoles, una alta fuente europea se limitó a explicar al respecto que “todo lo que eleve la inestabilidad es malo”.
Pero más allá del escueto informe interno de Bruselas —similar a las frecuentes notas diplomáticas que, en un tono generalmente aséptico, se emiten sobre la situación política de cada país—, la preocupación en Europa es indiscutible. Una alta fuente del Eurogrupo explicaba hace unos días que “los riesgos políticos y sociales”, y no solo vinculados a procesos electorales como el de Italia, son ya el elemento más preocupante para la estabilidad del euro. En las grandes capitales, Berlín repite la letanía de Bruselas y dice que se trata de un asunto interno; un portavoz se remitía a las declaraciones de la canciller Angela Merkel, que el lunes cerró filas con Rajoy y le expresó todo su apoyo. Sin embargo, una fuente diplomática francesa sí mostraba preocupación, incluso sobre cómo puede afectar el caso a las negociaciones sobre el presupuesto comunitario. “La negociación es más complicada por la situación interna en algún país, con todo lo relacionado con las elecciones en Italia y con el debilitamiento de la imagen de Rajoy en España”.
En los canales oficiales y fuera de ellos hay inquietud y una enorme expectativa sobre el desenlace del caso. Y a la vez cierta prudencia: solo fuera de micrófono se admiten abiertamente los riesgos que entraña la situación política española. Fuentes europeas cuestionan tanto la defensa de Rajoy (“todo es falso, salvo algunas cosas”) como la ausencia de dimisiones: “En cualquier país del Norte la situación sería diferente”. “Hace tiempo que los socios europeos ponen el énfasis en las obras faraónicas, en los kilómetros del tren de alta velocidad, en la inflación de aeropuertos: con ese tipo de escándalos es difícil ver cómo Madrid puede reclamar nuevos fondos regionales”, indican.
Las fuentes consultadas advierten de dos consecuencias inmediatas de la corrupción: por un lado, la desconfianza de los socios hará que la tutela sobre España, que ha solicitado un rescate financiero de unos 40.000 millones, sea aún más exigente en adelante. Por otro, fuentes diplomáticas ponen en duda que el equipo de Rajoy pueda mantener el ritmo de las reformas: la corrupción pasará factura en forma de una mayor debilidad del Gobierno; el déficit de legitimidad puede dificultar el anuncio de los recortes pactados con Bruselas para 2014. El propio documento advierte de que la corrupción quita fuerza a los primeros indicios de mejora —caída de la prima de riesgo, regreso de la inversión extranjera, alza de exportaciones y un cierto alivio en la situación fiscal—, que no se refleja aún en la economía real: “Los españoles siguen teniendo solo vagas e insatisfactorias promesas acerca de que las cosas van a mejorar en el último trimestre del año”.
Fuera de las fuentes oficiales, los analistas coinciden con el examen interno de Bruselas sobre los riesgos asociados a la escalada de corrupción. Daniel Gros, director del Centro Europeo de investigación Política, explica que el caso Bárcenas “llega en un momento muy malo”. “Si el proceso judicial confirma los indicios, cabe esperar dimisiones al más alto nivel por el bien del país. La cuantía de los regalos no importa tanto como la mala impresión que causa todo lo relacionado con los sobres, y la sensación de que esto es solo la punta del iceberg”. En Berlín, Ansgar Belke, del influyente think tank DIW, asegura que el caso “contribuye a aumentar la desconfianza creciente del Norte respecto a los Gobiernos y Parlamentos del Sur”, en lo que supone una especie de peligrosa confirmación de los peores prejuicios para con España. “Hemos visto lo mismo en Grecia, y en tiempos pasados lo vimos en Alemania. Pero en plena crisis, alimentar las percepciones negativas \[respecto a la periferia de la eurozona\] es un problema grave de cara a encontrar soluciones europeas. Además de las dimensiones internacionales, a nivel interno al Gobierno le va a costar mantener la velocidad de los ajustes, pese a que tanto Bruselas como Berlín son conscientes del gran esfuerzo que ha hecho España al respecto. De ahí que Merkel haya dado todo su apoyo a Rajoy”.
Javier Noya, investigador del Instituto Elcano y director del Observatorio de la marca España, considera que el caso Bárcenas es “devastador” para la imagen de España. “Llueve sobre mojado, y el hecho de que nadie espere una dimisión no hace más que alimentar ese tópico de los virtuosos del Norte y los pecadores del Sur. Tras el desastre que supuso el pinchazo de la burbuja, el deterioro de la marca España se había detenido últimamente: ahora vuelve hasta el punto de que hay quien traza paralelismos con la Italia de Berlusconi, algo inédito”. Noya habla de “crisis de legitimación” con los casos que afectan a la jefatura del Estado y a la presidencia del Gobierno: “Con estos escándalos se une a la prima de riesgo económica, por las dudas sobre la recuperación de la economía y la deuda, una prima de riesgo política que hasta ahora solo teníamos por el descontrol de las cuentas autonómicas y las tensiones nacionalistas”. Wolfgang Münchau, director de Eurointelligence, resume el embrollo con brillantez: “He visto muchos escándalos políticos. Este no es el peor, ni de lejos, pero probablemente es uno de los más peligrosos por las fechas y las circunstancias. No hay que subestimar la dimensión europea y financiera en todo esto. La historia aún no es lo suficientemente grande, pero lo será si salen más acusaciones a la superficie. Si Mariano Rajoy no puede aclarar el caso con rapidez, todo esto va a ser terriblemente duro”
“Junto con la reforma aún por concluir del sistema bancario y las incógnitas sobre la estructura institucional (reforma de la Administración local, reforma del Banco de España, creación de una autoridad fiscal independiente, división de poder con las comunidades e independencia de Cataluña) la corrupción es otro lastre para la confianza de los inversores en España”, señala el documento.
Fuentes gubernamentales aseguraron que ayer en la cumbre no se palpaba “una preocupación concreta” sobre España. “El caso no ha salido en las conversaciones entre los líderes. Lo que sí hay es una preocupación genérica, cierta inquietud por la estabilidad de España (que se refleja en la prima de riego) y de Italia, por las elecciones”, según admitieron las mismas fuentes.
Bruselas ha mantenido hasta ahora un respetuoso y prácticamente inexpugnable silencio institucional respecto al caso Bárcenas, tras la publicación de los papeles manuscritos del extesorero del PP en los que apunta entregas de miles de euros a casi todos los integrantes de la cúpula de ese partido. Incluido el presidente Rajoy, que ha negado con rotundidad haber recibido dinero negro. El pasado viernes, una portavoz del presidente José Manuel Durão Barroso rehusó en rueda de prensa —hasta en siete ocasiones— pronunciarse sobre el caso. A las insistentes preguntas de varios medios sobre si hay preocupación en Bruselas o sobre la tensión social que pueden generar escándalos de ese tipo, la portavoz aseguró que la Comisión no ha mantenido contactos con España sobre esta cuestión. “Es un asunto interno”, se limitó a responder una y otra vez, para aclarar después que en ningún caso va a afectar al programa de rescate de la banca. El pasado miércoles, una alta fuente europea se limitó a explicar al respecto que “todo lo que eleve la inestabilidad es malo”.
Pero más allá del escueto informe interno de Bruselas —similar a las frecuentes notas diplomáticas que, en un tono generalmente aséptico, se emiten sobre la situación política de cada país—, la preocupación en Europa es indiscutible. Una alta fuente del Eurogrupo explicaba hace unos días que “los riesgos políticos y sociales”, y no solo vinculados a procesos electorales como el de Italia, son ya el elemento más preocupante para la estabilidad del euro. En las grandes capitales, Berlín repite la letanía de Bruselas y dice que se trata de un asunto interno; un portavoz se remitía a las declaraciones de la canciller Angela Merkel, que el lunes cerró filas con Rajoy y le expresó todo su apoyo. Sin embargo, una fuente diplomática francesa sí mostraba preocupación, incluso sobre cómo puede afectar el caso a las negociaciones sobre el presupuesto comunitario. “La negociación es más complicada por la situación interna en algún país, con todo lo relacionado con las elecciones en Italia y con el debilitamiento de la imagen de Rajoy en España”.
En los canales oficiales y fuera de ellos hay inquietud y una enorme expectativa sobre el desenlace del caso. Y a la vez cierta prudencia: solo fuera de micrófono se admiten abiertamente los riesgos que entraña la situación política española. Fuentes europeas cuestionan tanto la defensa de Rajoy (“todo es falso, salvo algunas cosas”) como la ausencia de dimisiones: “En cualquier país del Norte la situación sería diferente”. “Hace tiempo que los socios europeos ponen el énfasis en las obras faraónicas, en los kilómetros del tren de alta velocidad, en la inflación de aeropuertos: con ese tipo de escándalos es difícil ver cómo Madrid puede reclamar nuevos fondos regionales”, indican.
Las fuentes consultadas advierten de dos consecuencias inmediatas de la corrupción: por un lado, la desconfianza de los socios hará que la tutela sobre España, que ha solicitado un rescate financiero de unos 40.000 millones, sea aún más exigente en adelante. Por otro, fuentes diplomáticas ponen en duda que el equipo de Rajoy pueda mantener el ritmo de las reformas: la corrupción pasará factura en forma de una mayor debilidad del Gobierno; el déficit de legitimidad puede dificultar el anuncio de los recortes pactados con Bruselas para 2014. El propio documento advierte de que la corrupción quita fuerza a los primeros indicios de mejora —caída de la prima de riesgo, regreso de la inversión extranjera, alza de exportaciones y un cierto alivio en la situación fiscal—, que no se refleja aún en la economía real: “Los españoles siguen teniendo solo vagas e insatisfactorias promesas acerca de que las cosas van a mejorar en el último trimestre del año”.
Fuera de las fuentes oficiales, los analistas coinciden con el examen interno de Bruselas sobre los riesgos asociados a la escalada de corrupción. Daniel Gros, director del Centro Europeo de investigación Política, explica que el caso Bárcenas “llega en un momento muy malo”. “Si el proceso judicial confirma los indicios, cabe esperar dimisiones al más alto nivel por el bien del país. La cuantía de los regalos no importa tanto como la mala impresión que causa todo lo relacionado con los sobres, y la sensación de que esto es solo la punta del iceberg”. En Berlín, Ansgar Belke, del influyente think tank DIW, asegura que el caso “contribuye a aumentar la desconfianza creciente del Norte respecto a los Gobiernos y Parlamentos del Sur”, en lo que supone una especie de peligrosa confirmación de los peores prejuicios para con España. “Hemos visto lo mismo en Grecia, y en tiempos pasados lo vimos en Alemania. Pero en plena crisis, alimentar las percepciones negativas \[respecto a la periferia de la eurozona\] es un problema grave de cara a encontrar soluciones europeas. Además de las dimensiones internacionales, a nivel interno al Gobierno le va a costar mantener la velocidad de los ajustes, pese a que tanto Bruselas como Berlín son conscientes del gran esfuerzo que ha hecho España al respecto. De ahí que Merkel haya dado todo su apoyo a Rajoy”.
Javier Noya, investigador del Instituto Elcano y director del Observatorio de la marca España, considera que el caso Bárcenas es “devastador” para la imagen de España. “Llueve sobre mojado, y el hecho de que nadie espere una dimisión no hace más que alimentar ese tópico de los virtuosos del Norte y los pecadores del Sur. Tras el desastre que supuso el pinchazo de la burbuja, el deterioro de la marca España se había detenido últimamente: ahora vuelve hasta el punto de que hay quien traza paralelismos con la Italia de Berlusconi, algo inédito”. Noya habla de “crisis de legitimación” con los casos que afectan a la jefatura del Estado y a la presidencia del Gobierno: “Con estos escándalos se une a la prima de riesgo económica, por las dudas sobre la recuperación de la economía y la deuda, una prima de riesgo política que hasta ahora solo teníamos por el descontrol de las cuentas autonómicas y las tensiones nacionalistas”. Wolfgang Münchau, director de Eurointelligence, resume el embrollo con brillantez: “He visto muchos escándalos políticos. Este no es el peor, ni de lejos, pero probablemente es uno de los más peligrosos por las fechas y las circunstancias. No hay que subestimar la dimensión europea y financiera en todo esto. La historia aún no es lo suficientemente grande, pero lo será si salen más acusaciones a la superficie. Si Mariano Rajoy no puede aclarar el caso con rapidez, todo esto va a ser terriblemente duro”
Hoy se espera el anuncio del emplazamiento para la sórdida Eurovegas
Crónica Negra
El mundo es una novela policiaca / La
actualidad desde un punto de vista 'noir' / Espionaje, terrorismo y
narcotráfico, crímenes, corrupciones y escándalos. Y las novedades
literarias y cinematográficas en 'thriller' /
Por Javier Valenzuela
Meyer Lansky y Eurovegas
La diferencia entre un delincuente millonario y un respetable
empresario es “sólo una cuestión de tiempo”. La idea es de Meyer Lansky (Bielorrusia, 1902 - Miami, 1983) y fue formulada así en una cumbre de capos de la Mafia estadounidense: “No os preocupéis, no os
preocupéis. Mirad a los Astor, los Vanderbilt y toda esa gente de la alta sociedad.
Fueron los peores ladrones y miradles ahora. Es sólo una cuestión de tiempo (It's
just a matter of time)”.
Desde el punto de vista español, he aquí un remake de Bienvenido
Mr. Marshall, en el que Ignacio González encarnaría al paleto codicioso
interpretado por Pepe Isbert en el filme de Berlanga. Las fotos del tal González
saludando obsequiosamente a Sheldon llevan la música y la letra del “Americanos,
os recibimos con alegría, olé mi madre, olé mi suegra y olé mi tía”.
Desde el punto de vista noir, tal obsequiosidad recuerda a la alfombra
roja que la Cuba de Batista le desplegó a la Mafia estadounidense cuando, en
los años 1950, expandió sus negocios de hoteles y casinos desde Las Vegas a la
isla caribeña.
Meyer Lansky fue el
cerebro y el director ejecutivo de esta ampliación. Era desde hacía unos años el
financiero de la Cosa Nostra, el tipo que había inventado el principal sistema
de lavado del dinero negro de las familias mafiosas. En los años 1940, junto a
Bugsy Siegel, convenció a los capos para
que invirtieran en la incipiente ciudad del juego de Las Vegas, empezando por
el hotel y casino Flamingo. En la década siguiente, junto a Lucky Luciano, llevó
esa fórmula a la Cuba de Batista. Así nacieron, entre otros, el Montmartre Club,
el Cabaret Sans Souci y los hoteles y casinos Riviera, Nacional, Sevilla-Baltmore,
Commodoro, Deauville y Capri.
Lansky tenía una gran visión: La Habana
estaba destinada a ser la capital mundial del juego, la droga y la
prostitución, un negocio mucho mayor que Las Vegas. A él le gustaba la ciudad y terminó convirtiéndose en uno de sus vecinos más notorios. Vivía en el
hotel Nacional, hablaba pausadamente, daba muy buenas propinas, vestía con
atildamiento, y casi siempre de gris, y se le atribuían
amoríos con una muchacha llamada Carmen, dependienta de El Encanto.
Batista,
por su parte, también tenía una gran visión: los hoteles, casinos y salas de
fiesta de Lansky y los suyos aportaban
"riqueza y empleo". En los años 1950, Batista cambió las leyes cubanas para
conceder patente de corso a todo el que invirtiera 1 millón de dólares en un
hotel o 200.000 euros en un club nocturno. Además, se les concedían 10 años de exención
de impuestos. Por supuesto, Batista y su camarilla recibían las
correspondientes comisiones en efectivo.
James Ellroy, el escritor con más derecho a proclamarse hoy el heredero de Hammett y Chandler, recreó literariamente esos intentos en su trilogía Underworld USA. En Si los muertos no resucitan, Philip Kerr ha introducido directamente a Meyer Lanksy como uno de los personajes de la novela. “La influencia política no tiene precio y Lansky lo sabe más que de sobra”, le dice alguien en un momento determinado a Bernie Gunther, el protagonista.
Lansky no ha cesado nunca de salir en la gran pantalla en las últimas décadas. Su personaje ha sido interpretado por Dustin Hoffman (La ciudad perdida, de Andy García), Robert de Niro (Érase una vez en América, de Sergio Leone) y Ben Kingsley (Bugsy, de Barry Levinson). Y es Lansky en quien está inspirado el personaje ficticio de Hyman Roth de la segunda entrega de El Padrino.
Buena parte de los documentos del FBI sobre Meyer Lansky son hoy accesibles al público.
Cuando enseñan la patita se ven los pelos del lobo
El presidente de la patronal dice que: “Los
funcionarios, mejor en casa que consumiendo papel y teléfono”
Por si fuera poco, a estas incendiarias declaraciones, que seguro despiertan polémica, añadió que sobran trabajadores públicos aunque no especificó cuantos: “¿300.000? ¿400.000?”. Según Rosell uno de los “grandes problemas del país es la tecnoestructura de los ministerios”.
Los funcionarios no son el único colectivo contra el que disparó Rosell. Tras negar la Encuesta de Población Activa (EPA) por su falta de credibilidad atizó a los parados. “hay quienes no tienen intención de trabajar y se apuntan, como los amos y amas de casa cuando en la crisis han visto que hay posibilidad de obtener alguna cosa por estar apuntado”.
“No utilicemos más ni el INE ni la EPA. La EPA de los seis millones de parados no es verdad”, dijo menospreciando el sistema y en claro desafío a la opinión de la mayoría de los expertos, que consideran que la EPA es la mejor radiografía del mercado laboral.
El último Almodóvar llega a las pantallas
Los carteles de Los Amantes Pasajeros, que se estrena el 8 de marzo
La madeja se desenrolla
Hasta los masones se pronuncian acerca de la corrupción
Comunicado de la Masonería sobre la corrupción que azota a España
Gustavo Vidal Manzanares
|
Jurista y escritor
nuevatribuna.es |
07 Febrero 2013 .
Perseguida por la mayoría de las dictaduras,
apreciada por las democracias, alabada y admirada por las mentes
librepensadoras, difamada por sectarios y fanáticos, la Masonería se
define como una organización de carácter universal que se propone el
mejoramiento personal y de la la sociedad.
Tal vez por ello, son muchos los masones que a lo largo de los siglos han ejercido una enorme influencia en el devenir de la humanidad. Les debemos la participación protagonista en acontecimientos tales como las primeras declaraciones de Derechos, la lucha contra la esclavitud, el sufragio universal, el parlamentarismo, la Ilustración, en hitos científicos como la moderna neurología o el descubrimiento de la penicilina, o en la creación de organizaciones como la Cruz Roja, la Sociedad de Naciones o la Unión Europea original.
En este sentido, la masonería española de índole más progresista acaba de emitir el siguiente comunicado sobre la corrupción que está pudriendo nuestro país y que, desde luego, vale la pena leer y reflexionar...
Comunicado de la Gran Logia Simbólica Española (en adelante: G∴L∴S∴E∴) sobre la situación actual de la política en España: La directiva de la G∴L∴S∴E∴, organización de la masonería liberal y adogmática de nuestro país, manifiesta su alarma por los acontecimientos que está viviendo España
Estos escándalos suponen, sin la menor duda, uno de los más graves casos de descrédito de los representantes políticos, una burla a la confianza ciudadana y un desprestigio para nuestro país justo en unos momentos especialmente delicados y que requieren de una gran responsabilidad y compromiso.
La democracia se basa en un pacto social según el cual los ciudadanos eligen a quienes consideran mejores para gestionar los asuntos públicos y representarles durante un periodo de tiempo previamente acordado. La democracia no es ni puede ser jamás la concesión a unos cuantos de una patente de corso para enriquecerse durante cuatro años o más. La democracia tiene su fundamento en la confianza que los representados tienen en sus representantes y en la lealtad de éstos hacia quienes les han elegido.
Cuando esa confianza se traiciona y esa lealtad desaparece, el prestigio y la legitimidad moral de la clase política se derrumban, y el cimiento mismo de la democracia se pudre. Es lo que, en opinión de la directiva de la G∴L∴S∴E∴, está sucediendo ahora. Y es más que sabido qué sucede cuando, en un Estado de Derecho, la clase política pierde su prestigio porque se transforma en una especie de casta que deja de servir a los intereses de todos para servir sólo y nada más que a sus propios intereses. Basta repasar la historia del siglo XX para comprobar que esa ha sido siempre la antesala del totalitarismo.
La directiva de la G∴L∴S∴E∴ reclama, pues, una contundente, eficaz y sobre todo rápida acción de la Justicia, que ahora más que nunca debe demostrar su tantas veces cuestionada independencia y proceder de inmediato contra quienes se pruebe que han actuado delictivamente en el ejercicio de sus responsabilidades políticas.
La directiva de la G∴L∴S∴E∴ reclama a los partidos políticos sin excepción alguna, que hagan cuanto esté en su mano para denunciar y expulsar de sus organizaciones a todos cuantos hayan tomado parte en prácticas corruptas. Sean, una vez más, cuantos sean y quienes sean. Porque los partidos son elementos esenciales en el funcionamiento democrático, y sólo con su limpieza y regeneración podrá la clase política recuperar su prestigio perdido y su representatividad moral. Sin eso, la democracia tal y como la entendemos será una simple ficción.
La directiva de la G∴L∴S∴E∴ pide además a los medios de comunicación que, en este momento tan grave, sirvan ante todo a los intereses de los ciudadanos; que informen con veracidad, objetividad y exhaustividad, sin negar u ocultar la realidad ni manipular los hechos en beneficio de unos u otros partidos, grupos de poder o intereses particulares. Sólo de la difusión y del conocimiento de la verdad puede surgir la regeneración ética que necesita ahora mismo nuestra nación.
La directiva de la G∴L∴S∴E∴ pone de manifiesto, por último, su más absoluta fe y lealtad hacia el sistema democrático y el Estado de Derecho que los españoles nos dimos a nosotros mismos con la Constitución de 1978. Reclamamos las mejoras necesarias que impidan la proliferación de quienes se aprovechan del sistema para su propio lucro o beneficio, pero, frente a quienes propugnan derribarlo todo para que aparezca, como tantas otras veces, un “salvador de la patria”, seguimos pensando que el sistema de libertades y el pacto democrático entre los ciudadanos es la mejor manera de gobernarse que los seres humanos han inventado desde el principio de los tiempos. Siempre lo hemos defendido y siempre lo defenderemos.
Tal vez por ello, son muchos los masones que a lo largo de los siglos han ejercido una enorme influencia en el devenir de la humanidad. Les debemos la participación protagonista en acontecimientos tales como las primeras declaraciones de Derechos, la lucha contra la esclavitud, el sufragio universal, el parlamentarismo, la Ilustración, en hitos científicos como la moderna neurología o el descubrimiento de la penicilina, o en la creación de organizaciones como la Cruz Roja, la Sociedad de Naciones o la Unión Europea original.
En este sentido, la masonería española de índole más progresista acaba de emitir el siguiente comunicado sobre la corrupción que está pudriendo nuestro país y que, desde luego, vale la pena leer y reflexionar...
Comunicado de la Gran Logia Simbólica Española (en adelante: G∴L∴S∴E∴) sobre la situación actual de la política en España: La directiva de la G∴L∴S∴E∴, organización de la masonería liberal y adogmática de nuestro país, manifiesta su alarma por los acontecimientos que está viviendo España
Estos escándalos suponen, sin la menor duda, uno de los más graves casos de descrédito de los representantes políticos, una burla a la confianza ciudadana y un desprestigio para nuestro país justo en unos momentos especialmente delicados y que requieren de una gran responsabilidad y compromiso.
La democracia se basa en un pacto social según el cual los ciudadanos eligen a quienes consideran mejores para gestionar los asuntos públicos y representarles durante un periodo de tiempo previamente acordado. La democracia no es ni puede ser jamás la concesión a unos cuantos de una patente de corso para enriquecerse durante cuatro años o más. La democracia tiene su fundamento en la confianza que los representados tienen en sus representantes y en la lealtad de éstos hacia quienes les han elegido.
Cuando esa confianza se traiciona y esa lealtad desaparece, el prestigio y la legitimidad moral de la clase política se derrumban, y el cimiento mismo de la democracia se pudre. Es lo que, en opinión de la directiva de la G∴L∴S∴E∴, está sucediendo ahora. Y es más que sabido qué sucede cuando, en un Estado de Derecho, la clase política pierde su prestigio porque se transforma en una especie de casta que deja de servir a los intereses de todos para servir sólo y nada más que a sus propios intereses. Basta repasar la historia del siglo XX para comprobar que esa ha sido siempre la antesala del totalitarismo.
La directiva de la G∴L∴S∴E∴ reclama, pues, una contundente, eficaz y sobre todo rápida acción de la Justicia, que ahora más que nunca debe demostrar su tantas veces cuestionada independencia y proceder de inmediato contra quienes se pruebe que han actuado delictivamente en el ejercicio de sus responsabilidades políticas.
La directiva de la G∴L∴S∴E∴ reclama a los partidos políticos sin excepción alguna, que hagan cuanto esté en su mano para denunciar y expulsar de sus organizaciones a todos cuantos hayan tomado parte en prácticas corruptas. Sean, una vez más, cuantos sean y quienes sean. Porque los partidos son elementos esenciales en el funcionamiento democrático, y sólo con su limpieza y regeneración podrá la clase política recuperar su prestigio perdido y su representatividad moral. Sin eso, la democracia tal y como la entendemos será una simple ficción.
La directiva de la G∴L∴S∴E∴ pide además a los medios de comunicación que, en este momento tan grave, sirvan ante todo a los intereses de los ciudadanos; que informen con veracidad, objetividad y exhaustividad, sin negar u ocultar la realidad ni manipular los hechos en beneficio de unos u otros partidos, grupos de poder o intereses particulares. Sólo de la difusión y del conocimiento de la verdad puede surgir la regeneración ética que necesita ahora mismo nuestra nación.
La directiva de la G∴L∴S∴E∴ pone de manifiesto, por último, su más absoluta fe y lealtad hacia el sistema democrático y el Estado de Derecho que los españoles nos dimos a nosotros mismos con la Constitución de 1978. Reclamamos las mejoras necesarias que impidan la proliferación de quienes se aprovechan del sistema para su propio lucro o beneficio, pero, frente a quienes propugnan derribarlo todo para que aparezca, como tantas otras veces, un “salvador de la patria”, seguimos pensando que el sistema de libertades y el pacto democrático entre los ciudadanos es la mejor manera de gobernarse que los seres humanos han inventado desde el principio de los tiempos. Siempre lo hemos defendido y siempre lo defenderemos.
jueves, 7 de febrero de 2013
Artículo de M. A. Aguilar retirado de la edición digital de El País
Rajoy debería contestar a algunas
cuestiones relevantes que permitirían confirmar su desprendimiento y su entrega
sacrificada a la política
Miguel Ángel Aguilar - 5 FEB
La intervención del
presidente del Gobierno y del PP, Mariano Rajoy, ante el comité ejecutivo
nacional de su partido el pasado sábado, 2 de febrero, ha agravado la situación
en que se encuentra el caso Gürtel-Bárcenas. Primero, por el formato elegido de
máximo blindaje y mínima credibilidad. “Quiero”, dijo el presidente, “que en
este asunto operemos con la máxima transparencia, el máximo rigor y la máxima
diligencia”. Pero a continuación las maneras venían a desmentirle. Porque de
las ruedas de prensa sin preguntas, lo que Esteban González Pons,
vicesecretario del PP, llamaba notas de prensa audiovisuales, se ha pasado a un
escalón superior. Ahora, los periodistas han dejado de ser testigos, ni
siquiera comparten lugar con el compareciente. Recluidos en otra sala, solo les
llega una señal de televisión realizada por los servicios del partido. Una
cámara fija ofrece el plano único del presidente Rajoy, que lee en un atril.
Pero nadie ajeno al comité ejecutivo nacional pudo dar fe de cómo sucedió.
Segundo, porque si Rajoy
proclama nada tener que ocultar, no temer a la verdad, no haber venido a la
política ni a ganar dinero ni a engañar a Hacienda; ser a los 23 años, en 1978,
Registrador de la Propiedad con una plaza; ganarse muy bien la vida; ingresar
más dinero en su profesión que como político; haber venido a la política
perdiendo dinero porque para él, el dinero no es lo más importante en esta
vida; todas estas protestas nos obligan a reclamar que se muestre "con
máxima transparencia, máximo rigor y máxima diligencia" toda su
trayectoria como Registrador. Por eso, queremos saber, por ejemplo:
1.- Si es cierto que siguió
disfrutando de los beneficios del Registro de Villafranca, provincia de León, y
de Padrón, provincia de la Coruña, cuando fue elegido diputado al Parlamento de
Galicia en 1981, director general de Relaciones Institucionales de la Xunta en
1982. .
2.- Si al concursar
voluntariamente y obtener en 1982 el registro de Berga en el Pirineo catalán,
contraviniendo entre otras la obligación de residir en la localidad donde tiene
su sede el Registro, continuó obteniendo ingresos de esa plaza, que se
encuentra a más de mil kilómetros de Pontevedra, ciudad donde seguía teniendo
su residencia efectiva y sus responsabilidades políticas como concejal del
Ayuntamiento, presidente de la Diputación y Diputado al Congreso desde 1986 y
vicepresidente de la Xunta en 1987. Porque si Rajoy como político concursaba
buscando mejores plazas y figuraba como registrador en activo, debemos saber
cuánto cobraba de sus cargos políticos y cuánto recibía de los registros.
3.- Si es cierto que nunca
solicitó la declaración de compatibilidad del Ministerio de la Presidencia, a
que estaba obligado por la Ley de Incompatibilidades de los funcionarios
públicos, porque en ese caso alardear de ser persona escrupulosa con el
cumplimiento de la legalidad resultaría excesivo.
4.- Si los registros de Elche
y Santa Pola, que solicitó y le fueron adjudicados en sucesivos concursos, los
atendió alguna vez personalmente, cuánto cobró hasta 1990 y si simultaneaba esa
tarea con otras responsabilidades políticas.
5.- Si, cuando a partir de
marzo 1990 pide que se le declare en servicios especiales y su plaza en Santa
Pola, queda encomendada a su buen amigo Francisco Riquelme, titular del
Registro de Elche, esa designación a título de "sustituto accidental
permanente", era la que correspondía según el cuadro legal de
sustituciones de la Dirección de Registros y del Notariado.
6.- Si a partir de ese
momento y siguiendo ejemplos acreditados se repartía al 50% los beneficios del
Registro de Santa Pola con el sustituto que le hacía el trabajo.
7.- Si después 1998 a partir
de algunos cambios legales, aprobados en el Consejo de Ministros donde él se
sentaba, los beneficios del Registro de Santa Pola se han partido entre el
amigo Riquelme y el Colegio de Registradores al 50%.
Son cuestiones relevantes
porque permitirían confirmar cuanto es el dinero perdido de Mariano Rajoy y
evaluar su desprendimiento y su entrega sacrificada a la política, sin atender
a las pérdidas que ese afán de servicio le acarreaba. Se impone despejar de
manera indiscutida la incógnita y los malos pensamientos de quienes sostienen
que en el caso de Rajoy mas que renuncia hubo pluriempleo. De momento, en la
Declaración de Actividades presentada en el Congreso de los Diputados el 1 de
diciembre de 2011 el punto segundo "Ejercicio de la función pública o de
cualquier puesto al servicio de una Administración Pública" figura en
blanco y tampoco especifica la Administración para la que presta sus servicios,
ni si ha solicitado el pase a la situación de servicios especiales o
equivalente.
* * * * * * * * * * * * * * * * * *
Ayer desapareció un artículo de M.A. Aguilar en el
País, en el que se hablaba de los ingresos de Rajoy. Se ha escrito al defensor
del lector del diario. Luego ha desaparecido también de la caché de Google,
donde podía leerse.
ACTUALIZACIÓN: RESPUESTA DEL
DEFENSOR DEL LECTOR DE EL PAÍS:
Respuesta del Defensor:Buenos días
He consultado con el
responsable de Opinión lo sucedido. El lunes por la noche se llamó al autor del
artículo planteando la retirada del mismo por considerar los responsables de
Opinión que en el mismo se trataban supuestas conductas del presidente el Gobierno
alguna pendiente de dilucidar en demanda administrativa no resuelta. Decisión
que acató el articulista. La redacción procedió a la retirada del artículo que
no se publicó en la edición impresa sin advertir que no se hizo lo propio en la
edición digital donde permaneció publicado unas horas hasta su retirada por el
motivo comentado.
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